Dire son nom :
- Faire une petite césure en le prénom et le nom
- Donner de la musicalité
- Regarder autrui
Un peu de sagesse dans ce monde de brutes
Dire son nom :
Pour élargir sa voix, agir sur :
– la respiration intercostale (écarter les côtes),
– la voix directe (respiration bouche ouverte avec son),
– le rire de l’ogre (le diaphragme sert de trampoline au souffle).
La plupart du temps, les gens n’écoutent pas ou qu’à moitié.
Eparpillent l’attention :
– la présence (physique, vêtements, regard, gestes),
– le contexte (conférence, bar, salle de réunion).
Donner de l’impact au message en le rendant vivant:
– physiquement,
– émotionnellement,
– énergiquement.
Il s’agit d’une part, d’une implication physique des plus importantes.
C’est à l’orateur de faire l’effort pour que sa pensée porte jusqu’à l’auditeur : cela commence dans l’ancrage au sol et se termine dans le regard.
Politesse que l’on fait à ceux qui nous écoutent
– La diction : bien placer les sons en bouche
– La modulation : mélodie intérieure de la phrase
– Le phrasé : mettre du rythme en coupant les phrases
– L’intonation : affirmation, interrogation, insinuation, …
– la force du regard : avoir l’oeil,
– avoir un bon ancrage au sol,
– donner de l’intensité à son intention.
Voix de compensation : parler fort, en forçant (Force ≠ Puissance)
Le juste milieu , la cohérence (car il y a forcément une mise en scène et les autres écoutent aussi avec les yeux).
Tranquille et profonde
Donner de la place aux voyelles dans l’espace acoustique
Veiller à être compris
Simplement construire un CADRE SOLIDE avec :
– un bon appui au sol,
– un vrai regard,
– une bonne diction.